Description
En ouvrant des archives britanniques et françaises inédites sur la guerre de sept ans, Michael Taylor nous place tout à tour du côté de l’assiégé et de l’assiégeant.
Il nous rappelle que l’occupation de Belle-Île d’avril 1761 à mai 1763 était un coup de couteau dans le coeur de la France.
La conquête forçait la France à accepter la perte du Canada, une humiliation cachée dans l’alibi souvent répété que Belle-Isle était échangée contre Minorque.
Les britanniques fêtent leur suprématie en chansons et musique. A Belle-Isle on connait une brève période de prospérité gâtée par l’imposition d’un serment de fidélité.